Isba de Baba Yaga

baba yaga

Isba de Baba Yaga

Baba Yaga est une célèbre sorcière du folklore slave.

Ses rôles, et les interprétations qui en découlent, sont toutefois multiples, la faisant tour à tour esprit démoniaque, gardienne ou encore divinité.

Son isba (maison traditionnelle russe) est quant à elle bien singulière : entourée de crânes lumineux, elle surplombe deux immenses pattes de poules et peut ainsi se déplacer.

Si un jour, lors d’une promenade dans une forêt sombre, vous découvrez une vieille cabane qui caquète : méfiez-vous, celle-ci est peut-être en réalité l’isba de Baba Yaga.

Réalisé par : Cédric Bessaies

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Bake-kujira

Bake kujira Cédric Bessaies

Bake-kujira

Le bake-kujira est un yōkai, c’est-à-dire un esprit, une créature du folklore japonais.

Son nom signifie littéralement « baleine-fantôme » et ne lui est pas donné par hasard.

Son histoire commence une nuit où, sur une plage des îles d’Oki, dans la préfecture de Shimane, au Japon, s’échouèrent des nuées étranges de poissons et d’oiseaux : au milieu d’eux se trouvait un immense squelette de baleine qui, bien vite, retourna de lui-même à la mer.

Un pêcheur qui avait assisté à la scène décida de la suivre et parvint à la rattraper. Armé de son harpon, il visa la baleine qu’il atteignit. Pourtant, rien ne se passa, comme si elle n’existait pas. La baleine-fantôme s’éloigna alors dans les ombres marines et disparut.

Aujourd’hui encore, il peut nous être donné de l’apercevoir mais, bien souvent, cette rencontre est synonyme de malheur.

Réalisé par : Cédric Bessaies

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Jubokko

Jubokko

Jubokko

Tout comme le bake-kujira, le jubokko est un yōkai, c’est-à-dire un esprit du folklore japonais.

Son nom, qui signifie « enfant de l’arbre », lui vient de sa naissance : il est dit que lorsqu’un arbre a bu une grande quantité de sang humain, il devient un jubokko. Il n’est donc pas si rare d’en trouver sur d’anciens champs de batailles.

Une fois devenu yōkai, cet arbre – qui souvent ressemble à n’importe quel autre – se saisit à l’aide de ses branches et de ses racines des humains qui passent trop près de lui. Il s’abreuve alors de leur sang pour se nourrir. On raconte que si l’on entaille son écorce, ce n’est pas de la sève mais du sang qui en coule.

Réalisé par : Cédric Bessaies

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